Les femmes au foyer de plus en plus attirées par l’industrie du X, au Japon
[ C’est par le biais du magazine Shukan Post (Shogakukan) que nous apprenons l’augmentation de femmes mariées japonaises désirant se lancer dans l’industrie du porno ! ]
En effet, l’enquête a révélé qu’un nombre croissant de femmes au foyer cherchent à travailler dans les productions pour adultes principalement « pour gagner rapidement de l’argent » ou « arrondir les fins de mois ».
Une grande maison de production audiovisuelle confirme qu’elle reçoit environ une trentaine de demandes par mois de femmes au foyer.
Le président de cette société explique :
« Si une candidate potentielle réside dans la région de Kanto, un entretien classique est organisé. » « Pour les endroits plus éloignés, la candidate nous envoie une photo d’elle par téléphone et après un entretien téléphonique nous décidons d’aller plus loin ou pas. »
« Environ 1 femme sur 30 peut devenir actrice (professionnelle). Nous refusons beaucoup de candidates après l’entretien. Les facteurs déterminants sont l’apparence, la disponibilité et la volonté de le faire. »
« Environ 1 femme sur 30 peut devenir actrice (professionnelle). Nous refusons beaucoup de candidates après l’entretien. Les facteurs déterminants sont l’apparence, la disponibilité et la volonté de le faire. »
Takehiko Sawaki, un écrivain/scénariste spécialisé dans le milieu X précise :
« Environ 2 000 films sortent chaque mois au Japon. Dans ces films, environ la moitié sont des actrices amateurs. »
« Les amateurs sont monnaie courante. Environ 90% d’entre elles le font pour l’argent. Pour le reste, il s’agit de femmes qui atteignent un moment de leur vie où elles souhaitent être désirables. Il s’agit davantage d’épanouissement. »
« Leur principale préoccupation est de garder le secret sur cette activité à leur entourage. La maison de production peut flouter/cacher le visage de l’actrice, mais il y a toujours un risque que le mari la reconnaisse. »
Il existe aussi la possibilité du travail de nuit dans le commerce Fuzoku (club d’hôtesses, services des plaisirs, etc…).« Les amateurs sont monnaie courante. Environ 90% d’entre elles le font pour l’argent. Pour le reste, il s’agit de femmes qui atteignent un moment de leur vie où elles souhaitent être désirables. Il s’agit davantage d’épanouissement. »
« Leur principale préoccupation est de garder le secret sur cette activité à leur entourage. La maison de production peut flouter/cacher le visage de l’actrice, mais il y a toujours un risque que le mari la reconnaisse. »
La journaliste Ayumi Sakai ajoute que :
« Environ 10 à 20% de femmes au foyer trouvent un emploi AV (Adult Video). Pour d’autres, l’industrie Fuzoku est le dernier recours pour toucher un revenu. »
Rappelons que l’industrie des vidéos pour adultes représente plus de 364,6 millions €/an (50 milliards yen) de recettes, au Japon (en constante augmentation).
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© wanibooks/yumi sugimoto © sabranet/asuka kishi
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